« Natasha Henry, au timbre séduisant et à la puissance [...] étonnante » (Louis Bilodeau, Revue L'Opéra), est une jeune soprano québécoise. Elle est reconnue pour son timbre chaud, ses interprétations sincères et sa brillance vocale. Elle a obtenu sa maîtrise du Conservatoire de musique de Montréal en 2025.
Natasha est récipiendaire de plusieurs prix dont la bourse MusiquAvenir, plusieurs bourses d'excellence de la Fondation McAbbie et de la Fondation du Conservatoire de musique de Montréal. Elle est également récipiendaire de la bourse de l'Opéra Bouffe du Québec. Natasha a remporté le 1er prix du Concours Classival. Elle est également lauréate lors des finales du Concours de musique de Sherbrooke et de Pierre-de-Saurel. Elle est soutenue par les Jeunesses Musicales du Canada pour ses projets.
Natasha interprète avec aise un répertoire varié. Elle interprète avec brio le répertoire baroque, la mélodie, le répertoire contemporain et l'opéra. Elle a entre autres interprété les rôles dans Die Zauberflöte (Pamina), Hänsel und Gretel (Gretel), Dido and Aeneas (Dido) et The Old Maid and the Thief (Laetitia). Elle a également interprété Daughter (The Juniper Tree) et Diane (Actéon). Natasha a chanté à la Salle Bourgie à l'automne 2023 dans la nouvelle série Mentorats et débuts : les étoiles montantes. Elle a travaillé avec les chefs Paul Nadler, Jacques Lacombe, Jean-Marie Zeitouni, Luc Beauséjour, Ivars Taurins et Véronique Lacroix. Soliste invitée avec des orchestres et des ensembles, elle a récemment été entendue dans le Requiem de Fauré sous la direction de Marc Trautmann. Elle s'est également produite en tant que soliste dans Bach : les voix des anges avec l'Ensemble Prisme, et a chanté en tant que soliste dans le Pierrot Lunaire de Schoenberg sous la direction de Véronique Lacroix. À l'opéra, Natasha a interprété le rôle de la Statue dans Pygmalion de Rameau avec l'Opéra du Royaume, où elle a chanté et fait de la marionnette. Finaliste de l'Atelier Lyrique de l'Opéra de Montréal, elle a remporté le Prix Étoile Stingray (prix du public) lors du Gala Talent à la salle Wilfrid-Pelletier. Elle a aussi remporté le Prix du Centre de Musique Canadienne lors du Concours Prix d'Europe. Demi-finaliste du prestigieux concours OSM, Édition Voix 2025, elle a remporté les prix Orford et Domaine Forget. Prochainement, nous l'entendrons chanter dans le grand concours Laffont du Metropolitan Opera.
Pendant son parcours, elle a travaillé avec de nombreux maîtres tels que Hervé Niquet, Wolfgang Holzmair, Adrianne Pieczonka, Christine Schäfer, Richard Turp, Susan Platts, Nicole Car, Étienne Dupuis, Joan Dornemann, François Le Roux et Ann Monoyios.
« NATASHA HENRY A FAIT LA DÉMONSTRATION DES QUALITÉS QUI ONT RAPIDEMENT FAIT D'ELLE UN NOM À SUIVRE. SON TIMBRE ROND ÉTAIT SOUTENU PAR UNE PROJECTION SOUPLE ET BIEN ASSISE, PERMETTANT À LA VOIX DE SE DÉGAGER EN TOUT TEMPS DES SONORITÉS DE L'ORCHESTRE. ELLE A MAÎTRISÉ TOUTES SES ENTRÉES AVEC EXPERTISE ET CONFIANCE. SON DERNIER AMEN DÉLICATEMENT SCULPTÉ EST VENU PORTER LA TOUCHE CONCLUANTE IDÉALE À UNE FINALE PARFAITEMENT DOSÉE. »
BÉATRICE CADRIN, LUDWIG VAN MONTRÉAL (NOVEMBRE 2025)
« UN TALENT NOTABLE À SUIVRE : NATASHA HENRY »
CHRISTOPHE HUSS, LE DEVOIR (JUILLET 2025)
« GAGNANTE DU PRIX DU PUBLIC, ET POUR CAUSE ! UN TALENT SOLIDE AVEC DES NOTES AIGUËS INTRIGANTES »
ADRIAN RODRIGUEZ, LA SCENA MUSICALE (NOVEMBRE 2024)
« UNE ÉTOILE MONTANTE, SANS AUCUN DOUTE. ELLE A BEAUCOUP DE POTENTIEL DANS TOUS LES ASPECTS DU CHANT, DU CHARISME ET DU JEU »
JUSTIN BERNARD, LA SCENA MUSICALE (NOVEMBRE 2024)
« C'EST LA SOPRANO NATASHA HENRY (...) QUI S'EST ATTIRÉ LES SUFFRAGES PAR SON INTERPRÉTATION TOUCHANTE DE (Allons, il le faut... Adieu, notre petite table tirée de Manon de Massenet) »
BÉATRICE CADRIN, LUDVIG VAN MONTRÉAL (NOVEMBRE 2024)
« ELLE A CHANTÉ L'AIR DE MANON AVEC BEAUCOUP DE MUSICALITÉ »
WAH KEUNG CHAN. LA SCENA MUSICALE (NOVEMBRE 2024)
« DANS LE RÔLE DE LAETITIA, NATASHA HENRY EST À L'AISE COMME UN POISSON DANS L'EAU ET OFFRE UN MOMENT D'ÉMOTION SINCÈRE LORSQU'ELLE CHANTE L'ARIA (What a curse for a woman is timid man) »
ÉRIC CHAMPAGNE, REVUE L'OPÉRA (MARS 2024)
« LA RAVISSANTE GRETEL DE NATASHA HENRY, AU TIMBRE SÉDUISANT ET À LA PUISSANCE PAR MOMENTS ÉTONNANTE »